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Provence

Et si, les produits made in Provence, symboles de notre art de vivre, contribuaient à véhiculer l’image d’une Provence accueillante et touristique ? Voilà, en une question résumée, l’idée de cette collection officielle à marque Provence, lancée dans le cadre du contrat de destination Provence (initié en 2015). En clair : depuis juin 2023, des entreprises diverses et variées, implantées dans le Var, les Bouches-du-Rhône et une partie du Gard, apposent la marque Provence sur leurs produits. « Pour se faire connaître en France et dans le monde, il faut miser aussi sur notre art de vivre » explique-t-on du côté de Provence tourisme et du Comité régional du Tourisme. Chaque acheteur d’un savon, d’une boîte de calissons, d’un parfum, de biscuits découvre un peu plus nos trésors provençaux qui susciteront, à terme, une envie de venir séjourner en Provence. Les sociétés qui participent à cette opération valorisent la destination en proposant des visites d’usines ou d’ateliers, elles racontent le patrimoine en s’appuyant sur l’imaginaire de la région. Les produits sont mis en exergue dans toutes les opérations de promotion à l’étranger et de leur côté, Provence tourisme et le Comité régional du Tourisme encouragent d’autres marques à rejoindre le mouvement, « pour promouvoir une Provence tout à la fois moderne et authentique ».
Produits en vente chez Jog, 1, rue Caisserie (2e arr).

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La Soifferie, le bar « tranquille » devenu hot spot du cours Ju’

la Soifferie
Julien le barman, Loïc, Antoine et César

La Soifferie vient de fêter sa première année. Défi relevé pour l’équipe de la Brasserie communale à l’origine de cette ouverture, le 18 juin 2021, et pour Julien, le barman, qui officie derrière le comptoir depuis la première heure. « Titulaire d’un master 2 en analyse de projet et développement durable à Rennes, je suis parti à Serre-Chevalier pour faire une saison et là, j’ai adoré tout cet univers de la restauration, raconte Julien qui a opéré un changement radical de vie. J’adore cette ambiance, on voit du monde en permanence », poursuit le barman qui a appris le métier « sur le tas ».

La cave de la Soifferie réunit « des alcools de qualité sélectionnés par l’équipe de la Brasserie communale, confie le souriant César. On a réuni des spiritueux, des bières artisanales (Sulauze, Grihete à Nyons), du cidre, des vins bio, les gin et pastis de la Plaine et le fameux rhum Manikou ».  « Dans un souci d’authenticité, je prépare mes propres rhums arrangés, certains sirops (lavande, citron, gingembre) et les fruits déshydratés pour le décor des verres », poursuit Julien, shaker en main. La carte propose une dizaine de suggestions, pas de créations mais des classiques, retravaillés et affichés à 6-8 €. « A l’ouverture, on pensait faire un bar de quartier tranquille et ce sont les habitués qui, en faisant venir leurs potes, ont fait grandir la terrasse, entraînant un accroissement de l’offre et l’apparition des cocktails », se remémore Loïc. Désormais, la Soifferie est devenue une adresse cool pour discuter, réunissant des 20-35 ans et des quadras en quête de calme.

Et un troisième plan ?
« L’offre grignotage évolue elle aussi, complète César. Comme on n’a pas la possibilité de servir du chaud, on a demandé à Neil, de  la Brasserie, de préparer des petites choses comme le fameux homos. Et si un client veut venir avec son sandwich ou sa pizza, on laisse manger sur place ». Et demain ? Avec la Soifferie et la Brasserie communale l’équipe a-t-elle un troisième projet en vue ? « Pourquoi pas une troisième adresse dans un quartier où il n’y a pas grand chose ? interroge Antoine. Ce serait bien d’ouvrir un resto où on ne viendrait que pour ça »… Ce serait bien oui.

La Soifferie, 8, place Paul-Cézanne, Marseille 6e arr. ; infos au 06 67 56 66 68. Fermé dimanche et lundi.

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