La bûche de Noël est devenue, au fil des ans, un exercice de haute voltige, une preuve de maîtrise pour toute brigade souhaitant clore une année par un coup d’éclat. Pour célébrer Noël, c‘est toujours vers la Méditerranée que Julie Devouassoux, compagne de Gérald Passédat, est allée plonger son imagination. Pour évoquer ces douze mois qui n’ont pas manqué de piquants, le chef pâtissier Guillaume Villalonga a joué les harmonies terrestres (dacquoise marron-clémentine) surlignées de la force d’un cacao 75% issu d’une recette maison protégée, le « Abysse noir Passédat », et marines, avec un visuel étonnant. Passée la surprise des galets floqués chocolat, arrive la gourmandise d’un pailleté feuilletine, doux clin d’oeil à la bûche que le chef avait proposée en 2014, de quoi réveiller les appétits. « C’est un gâteau qui n’existe qu’en taille unique, pour 6-8 personnes, mais ce sont 6 grosses parts ou 8 normales » dit Gérald Passédat. L’entremets qui nécessite de 2h à 2h30 de travail est intégralement réalisé à la main et répond aux règles maison du « très peu sucré, tout à la sève de bouleau, sauf le chocolat bien sûr », prévient le chef. bûche de Gérald Passédat
La bûche de Gérald Passédat, en vente 110 € pour 8 personnes, sur le site passedat.fr (onglet « drive »), commande en amont, choix de la date de retrait.
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