Un biscuit à mi-chemin entre la navette et le sablé, une jolie forme de cigale imaginée par un designer de 25 ans… Voilà le faire-part de naissance d’un tout nouveau biscuit qui vient de naître à Gémenos, tout à côté d’Aubagne. L’atelier de fabrication, créé en 1964, et dirigé depuis 2004 par Michel Bohé, était auparavant spécialisé dans la fabrication de babas, savarins et autres coques de macarons prêts-à-garnir, à destination des cafés, hôtels et restaurants. Souhaitant se diversifier et ancrer l’entreprise dans sa région, Michel Bohé a eu l’idée l’an dernier de donner naissance à une marque artisanale, haut de gamme, valorisant à la fois son savoir-faire et le terroir provençal.
De l’idée est venu le concept de cigale, une gamme de beaux petits biscuits aux sept parfums : citron/anis, lavande, fleur d’oranger, abricot/romarin, amande, figue, caramel/fleur de sel de Camargue. C’est Antoine Pateau, jeune designer de 25 ans, qui en a dessiné la physionomie et à Gémenos on revendique « une farine biologique issue de blé de Provence, sans conservateurs, sans OGM, ni arômes et colorants artificiels ».
A grignoter pour satisfaire une soudaine petite faim, le biscuit est vendu dans nombre d’épiceries fines. Parallèlement, cette Cigale sera aussi vendue aux cafés et restaurants pour les pauses séminaires ou accompagner les cafés gourmands. En hôtellerie, elle sera offerte en guide de cadeau de bienvenue et sera aussi conditionnée en boîtes métal décorées des photos de sites emblématiques de la Provence : Cannes, Gémenos, Marseille, le Mont Ventoux. Jamais à court d’idées, Michel Bohé confesse : « Prochaine étape, on travaille sur une version salée de la Cigale pour l’apéro ».
Prix de vente : 6,95 € environ les 20 cigales. A Sisteron, Com.a la gal’rie (36, rue Droite) ; à Manosque, Folie’s douces (59, rue Grande) ; à Cassis, Via Cassis (4, rue Brémond) ; à Marseille, Nature et Dépendance (29, rue du Panier, 2e arr.) ; à Salon-de-Pce, la Pastorale (place Passelaigue) ; à Arles, la boutique des gourmets (5, place Félix-Rey) ; à Hyères, le Jardin de H’va (22, rue Massillon) etc.
super idée! j’adore