Marseille

► C’est le grand retour des dîners des mécènes. Afin de permettre le financement de la rénovation de la statue monumentale de la Bonne Mère, la basilique Notre-Dame-de-la-Garde organise, au sein de son restaurant, les dîners des mécènes afin de soutenir financièrement cette campagne de travaux colossaux. Chaque soirée commence à 19h avec une visite de la basilique conduite par le recteur en personne ; à 20h30, les convives se retrouvent pour un dîner bouillabaisse autour d’une grande table conviviale, réunissant 50 personnes ,jusqu’à 23h. Le plaisir des échanges, un plat mythique marseillais et, surtout, la vue sur la ville qui scintille et plonge dans la nuit. Pour chaque participant, 35 € sont reversés à la basilique pour la rénovation du site et de la statue ; cette somme est éligible à un reçu fiscal pour déduction d’impôts. Dîner uniquement sur réservation, limitée à 50 personnes, caution bancaire demandée à hauteur de 65 € par personne (annulation gratuite 48 h à l’avance).
Réservations en ligne en cliquant ici et au 04 91 98 25 17.

Marseille

► #BioRéflexe.- Les acteurs de la restauration collective et commerciale de toute la région Sud sont invités à découvrir la campagne nationale d’information citoyenne de l’Agence bio. Ce rendez-vous a été spécialement conçu pour eux afin de les aider à respecter la loi EGAlim. Organisé par la fédération des agriculteurs Bio en Provence-Alpes Côte d’Azur, et ses partenaires, cet événement professionnel aura pour thème : « Comment développer le bio local en restauration collective et en restauration commerciale ? ». Les participants découvriront concrètement les bénéfices du bio local et comment s’en emparer pour respecter la loi Egalim. De nombreux témoignages de pros animeront le rendez-vous.
Mercredi 20 novembre de 16h30 à 19h30 au restaurant Le République, 1, place Sadi-Carnot 2e arr. Infos et résa obligatoire : Bio de Paca par mail (communication@bio-provence.com) ou par phone : 04 90 84 43 65.

 

Crillon-le-Brave

La Table du Ventoux obtient son 2e macaron Écotable.– Le restaurant gastronomique la Table du Ventoux, dirigé par le chef Thomas Lesage, vient de franchir une nouvelle étape dans son engagement en faveur d’une cuisine durable en obtenant son second macaron Écotable. Concrètement, ça veut dire qu’au moins 30% des produits proviennent de l’agriculture biologique ou de filières durables. Les recettes sont élaborées selon des principes de zéro gaspillage, pour une utilisation optimale des ressources. L’utilisation d’agrumes non traités, assure une saveur authentique. Moins de 5% des produits sont importés hors d’Europe, privilégiant les circuits courts et les producteurs locaux. 50% des approvisionnements sont composés de produits d’origine végétale, favorisant une cuisine plus respectueuse de l’environnement.
La Table du Ventoux, hôtel Crillon le Brave sur la place de l’Église, 84410 Crillon-le-Brave ; infos au 04 90 65 61 61.

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Magazine

La Soifferie, le bar « tranquille » devenu hot spot du cours Ju’

la Soifferie
Julien le barman, Loïc, Antoine et César

La Soifferie vient de fêter sa première année. Défi relevé pour l’équipe de la Brasserie communale à l’origine de cette ouverture, le 18 juin 2021, et pour Julien, le barman, qui officie derrière le comptoir depuis la première heure. « Titulaire d’un master 2 en analyse de projet et développement durable à Rennes, je suis parti à Serre-Chevalier pour faire une saison et là, j’ai adoré tout cet univers de la restauration, raconte Julien qui a opéré un changement radical de vie. J’adore cette ambiance, on voit du monde en permanence », poursuit le barman qui a appris le métier « sur le tas ».

La cave de la Soifferie réunit « des alcools de qualité sélectionnés par l’équipe de la Brasserie communale, confie le souriant César. On a réuni des spiritueux, des bières artisanales (Sulauze, Grihete à Nyons), du cidre, des vins bio, les gin et pastis de la Plaine et le fameux rhum Manikou ».  « Dans un souci d’authenticité, je prépare mes propres rhums arrangés, certains sirops (lavande, citron, gingembre) et les fruits déshydratés pour le décor des verres », poursuit Julien, shaker en main. La carte propose une dizaine de suggestions, pas de créations mais des classiques, retravaillés et affichés à 6-8 €. « A l’ouverture, on pensait faire un bar de quartier tranquille et ce sont les habitués qui, en faisant venir leurs potes, ont fait grandir la terrasse, entraînant un accroissement de l’offre et l’apparition des cocktails », se remémore Loïc. Désormais, la Soifferie est devenue une adresse cool pour discuter, réunissant des 20-35 ans et des quadras en quête de calme.

Et un troisième plan ?
« L’offre grignotage évolue elle aussi, complète César. Comme on n’a pas la possibilité de servir du chaud, on a demandé à Neil, de  la Brasserie, de préparer des petites choses comme le fameux homos. Et si un client veut venir avec son sandwich ou sa pizza, on laisse manger sur place ». Et demain ? Avec la Soifferie et la Brasserie communale l’équipe a-t-elle un troisième projet en vue ? « Pourquoi pas une troisième adresse dans un quartier où il n’y a pas grand chose ? interroge Antoine. Ce serait bien d’ouvrir un resto où on ne viendrait que pour ça »… Ce serait bien oui.

La Soifferie, 8, place Paul-Cézanne, Marseille 6e arr. ; infos au 06 67 56 66 68. Fermé dimanche et lundi.

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