► Grappes d’or.- Pour la 3e année consécutive, la soirée des Grappes d’or s’est déroulée au fort Ganteaume ce lundi 10 mars dernier à Marseille. Le principe ? Mettre en lumière les professionnels les plus emblématiques des terroirs locaux et du savoir-faire vigneron distingués en six catégories. La cérémonie a réuni les lauréats bien sûr et célébré les vins des Bouches-du-Rhône ainsi que ceux qui contribuent à leur notoriété.
• Catégorie restaurateurs : Les Roches Blanches à Cassis
• Catégorie cavistes : Cave Vol aux Vins d’Audrey Brugière à Velaux
• Catégorie démarche collective : association des Vignerons de Sainte-Victoire
• Catégorie Jeune viticulteur : Mathilde Doudon à Trets
• Coup de Cœur : Vignerons du Roy René – Didier Pauriol à Lambesc
Martine Vassal, présidente du conseil départemental 13 et présidente de la Métropole AMP, Laurent Israelian (président de la Chambre d’agriculture 13), Hervé Granier (conseiller départemental 13 délégué à la viticulture), Fabien Doudon (viticulteur, élu à la Chambre d’agriculture en charge de la viticulture, président de la cave coopérative Lou Bassaquet) et Yvon Gary (président de l’association des sommeliers Alpes Marseille Provence) étaient présents.
Marseille
► La réforme aux Réformés. Le groupe Mando Hospitality a vendu le restaurant du rooftop du cinéma Artplexe sur la Canebière à Laurent Battisti (Le Caribou, Grandes Halles du cours d’Estienne d’Orves, Le Pointu, Le Phonographe, le café de l’Horloge). L’équipe de 25 personnes demeure et sera dirigée par Jérôme Caprin (Ex-Ventre de l’Architecte, ex-Mesa, ex-la Savonnerie). Au rez-de-chaussée, le Blum tombe lui aussi dans l’escarcelle de Battisti qui veut en faire « une belle trattoria à l’italienne ».
De g. à d. : Christophe Felder se concentre, Philippe Zérah coupe les parts à goûter, Franck Pinay-Rabaroust réfléchit aux critères et au classement.
Le jury était composé du pâtissier Christophe Felder, Samuel Beatrix (sommelier chez Alexandre mazzia), le cuisinier Emmanuel Perrodin, Priscilla Davigny (du blog Fully Funny), Franck Pinay-Rabaroust, M. Cohen, Emmanuelle Burgy-Willemart, pâtissière, et Pierre Psaltis
Marseille, vendredi 6 janvier. A l’initiative du pure-player parisien A Tabula, un jury du 8 personnes s’est réuni dans les salons du traiteur-restaurant Dalloyau au terrasses du Port. Franck Pinay-Rabaroust et Ezéchiel Zerah accueillent tout ce petit monde transi. Sur la table, un long cortège de gâteaux des rois va s’ébranler. Ils ont tous été achetés ce matin même. Chaque assiette porte un numéro de façon à garantir l’anonymat de la dégustation. L’enjeu est important car, tous les ans, la question du meilleur gâteau des rois se pose. Présentation, aspect, texture, saveurs, richesse de la garniture… le jury devra se prononcer pour déterminer la meilleure brioche. La dégustation commence à 9 heures, elle s’achèvera à 10h20.
Le palmarès : 1. Le Fournil des Rois-J. Mandonato, 34, rue Sainte, Marseille 1er (angle rue Breteuil) ; 04 91 33 26 40 2. Marrou, brioche des rois, 15, place Castellane, Marseille 6e arr. ; 04 91 78 17 68 3. Le Fournil Notre-Dame, 38, bd Notre-Dame, Marseille 6e arr. ; 04 91 54 95 17 / 09 67 18 95 17 4. La Boulangerie aixoise, 45, rue Francis-Davso, Marseille 1er arr. ; 04 91 33 93 85 5. Elyse, 63, avenue du 24-Avril 1915, Marseille 12e arr. ; 04 91 19 21 15
Tous les gâteaux étaient frais sauf un datant de la veille et tout rassis. Pour certains d’entre eux, l’abus d’eau de fleur d’oranger, qui plus est artificielle, gâche la recette. Pour ce qui est des fruits confits, l’époque des fraises, raisins et autres fruits délicats semble lointaine. Effet de la crise ? L’abondance, pour ne pas dire l’abus, de melon confit donne l’impression d’une pauvreté dans le décor très préjudiciable au gâteau.