Marseille

Gérald Passédat lance Bain Bain, son kiosque de plage 100% gourmand Installé à l’entrée du Petit Nice (anse de Maldormé), ce kiosque proposera chaque semaine, du jeudi au dimanche une carte de délices à emporter. Sandwiches aux saveurs estivales, pan bagnat d’Endoume, salade d’Orient ou de Mykonos, tous ces petits mets sont réalisés dans les cuisines du chef et proposés dans des packs éco-responsables.
Côté sucré, on craque pour le panini à la pâte de noisette, pour le cookie à la pistache ou chocolat, sans oublier l’irrésistible part de cake et les glaces, pour les plus sages, des fruits de saison. Pour se désaltérer pendant les heures chaudes, extractions de jus maison à choisir selon ses envies (revitalisant ou énergisant), smoothie ou kombucha, sans oublier les éternels sodas.
L’équipe de Bain-Bain sensibilisera les clients qui dégusteront sur le rocher, aux gestes écolo pour préserver l’environnement des déchets. Par ailleurs, elle veillera à la propreté des lieux en faisant quotidiennement le tour du rocher et ramassera les déchets éventuels.
• Tarifs : salé à partir de 9 € et sucré à partir de 4 €. Infos auprès du Petit Nice, anse de Maldormé / corniche J.-F. Kennedy 7e arr. ; 04 91 592 592

Lançon-de-Provence

Château Calissanne, rendez-vous Villa Bellevue.- Outre son activité viticole et oléicole, château Calissanne a ouvert en 2022 la Villa Bellevue, qui fut la maison du régisseur du domaine dès 1884. Aujourd’hui, cette bâtisse de l’époque Nabi offre une vue dégagée sur l’étang de Berre et Sainte-Victoire. Elle est devenue un lieu de réception pour les événements d’entreprise ou familiaux. Tout au long de l’été, la Villa Bellevue accueillera des soirées à thème où les participants profiteront d’une ambiance conviviale tout en admirant le coucher de soleil. Un verre de vin de la propriété sera offert à chaque participant. Soirée Independance day le 4 juillet, soirée Dolce vita le 12 juillet, soirée Signature cocorico le 14 juillet, soirée blanche le 18 juillet etc.
• Tarifs, dates et réservations en cliquant ici

Région

C’est le Oaï pour ce grand pastis. Joan, graphiste et fondateur de la marque Oaï of life, et Maristella, aux manettes de Cristal Limiñana, une des dernières fabriques de pastis à Marseille, ont décidé d’aniser notre été en élaborant un pastis marseillais percutant. Le pastis Oaï of Life est un pastis authentiquement marseillais (alors que beaucoup d’autres pastis sont élaborés ailleurs) et sa magie réside dans la synergie entre deux entreprises locales qui incarnent l’esprit et la culture de la ville. En utilisant des ingrédients soigneusement sélectionnés et en appliquant un savoir-faire traditionnel, ce pastis promet une expérience gustative incomparable portée sur l’anis et la réglisse, qui plaira aux amateurs de pastis simples et rafraîchissants. Disponible chez les meilleurs cavistes et épiceries fines de la région ou sur la boutique en ligne de Cristal Limiñana www.cristal-liminana.com

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Sainte-Croix-du-Verdon

Marchés et foires locales.- Durant tout l’été, chaque semaine, la commune accueille plusieurs marchés offrant des produits locaux frais, d’artisanat et des spécialités culinaires.
• Marchés des producteurs : tous les mardis matin, du 2 juillet au 27 août sur l’ancienne aire des camping-cars dans le village.
• Marchés gourmands : les mardis soir 16 juillet et 13 août (18h30-22h30). Foodtrucks de cuisine du monde, bière artisanale de Riez, sur l’ancienne aire des camping-cars dans le village.
• Marchés artisanaux : les mardis soir 9, 23 juillet et les 6 et 20 août (18h30 – 22h30). Avec la présence de créateurs et artisans de la région Sud, rue du Cours.

6e Arrondissement Marseille Restaurants en Provence

Restaurant Jérusalem, la Palestine, la paix, la réconciliation

Les mezzés servis chez Al quads restaurant Jérusalem à Marseille 6e arr

Le 20 mai 2018, la chanteuse libanaise Fayrouz, de confession syriaque orthodoxe et maronite, dédiait une énième chanson à Jérusalem, Gaza et à leurs peuples. La vidéo, encore visible sur Youtube, a été enregistrée devant un Christ en croix, qui se trouve dans la chapelle du Golgotha, qu’abrite la basilique du Saint-Sépulcre, à Jérusalem. Six ans plus tard, à l’aune des récents « événements », les paroles de la diva du Proche-Orient résonnent avec encore plus d’acuité dans le cœur de cette famille qui a choisi de s’établir à Marseille.
Ces Palestiniens ont baptisé leur restaurant « Jérusalem » et y servent une cuisine traditionnelle, troublante de sincérité, émouvante de générosité. L’adresse compte 16 couverts dans la salle du bas, et un premier étage façon mezzanine. Rénovée de frais, impeccable de propreté, la maison abrite un olivier dont on souhaite qu’il apportera paix et réussite à cette orientaux qui parlent un français hasardeux, mais suffisamment bon pour qu’un dialogue s’établisse.

Le trio de brochettes servies chez Al quads restaurant Jérusalem à Marseille 6e arr

Du homos, du taboulé (et son proche cousin le fatouch), des falafels, du m’tabbal, des kebbes, des sambousseks viande et fromage… aucun mezzé ne manque à l’appel. Tout est fait maison, avec quelques variantes comme l’absence de tahine dans le m’tabbal, ce qui allège l’assiette, met en exergue l’ail et la saveur boisée des aubergines. Il en va de même pour les brochettes cuites à la braise (kefta, poulet mariné et agneau), posées sur un délicieux riz aux vermicelles, très aromatique, surligné d’amandes effilées. Raffinement dans la simplicité.
Tout en surveillant la cuisson de ses brochettes, le préposé au feu façonne des petits pains, cuits dans l’instant et servis tout chauds, fumants dès qu’on les déchire. Rien à voir avec le pain libanais, plutôt une version anoblie de la pita. Un thé à la menthe, un blaklawa façonné en cigare et un Aish el Saraya (vision arabe d’une sauce faite de pain perdu et lait chaud sur un lit de semoule, enrichi au sirop de sucre garni d’éclats de pistaches) viennent clore un festin joyeux.

Les desserts du restaurant Jérusalem à Marseille 6e arr

Alors faut-il aller au restaurant Jérusalem  (Al Qads, la Terre Sainte, NDLR) de la rue des Trois Rois ? Mille fois oui car la cuisine y est d’une honnêteté et d’une franchise des goûts comme nulle part ailleurs. Oui parce que les hésitations dans le service, les longueurs, les timidités de cette équipe témoignent de sa « fraîcheur » dans le métier et qu’on doit encourager. Oui, parce que le rapport qualité-prix est excellentissime et oui, enfin, parce qu’un restaurant palestinien qui a choisi une colombe de la paix pour logo, mérite un respect unanime.
A l’heure du départ et de la dernière poignée de main, les invocations de Fayrouz nous reviennent en une triste mélopée : « Combien de temps Seigneur ? ». Les enfants qui se déchirent se rejoindront-ils un jour à la même table ?

Restaurant Jérusalem, 7, rue des Trois Rois, Marseille 6e arr. ;  infos au 06 11 46 64 64. Formules 18 et  30 €.

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