Bouches-du-Rhône

Grappes d’or.- Pour la 3e année consécutive, la soirée des Grappes d’or s’est déroulée au fort Ganteaume ce lundi 10 mars dernier à Marseille. Le principe ? Mettre en lumière les professionnels les plus emblématiques des terroirs locaux et du savoir-faire vigneron distingués en six catégories. La cérémonie a réuni les lauréats bien sûr et célébré les vins des Bouches-du-Rhône ainsi que ceux qui contribuent à leur notoriété.
• Catégorie restaurateurs : Les Roches Blanches à Cassis
• Catégorie cavistes : Cave Vol aux Vins d’Audrey Brugière à Velaux
• Catégorie démarche collective : association des Vignerons de Sainte-Victoire
• Catégorie Jeune viticulteur : Mathilde Doudon  à Trets
•  Coup de Cœur : Vignerons du Roy René – Didier Pauriol à Lambesc
Martine Vassal, présidente du conseil départemental 13 et présidente de la Métropole AMP, Laurent Israelian (président de la Chambre d’agriculture 13), Hervé Granier (conseiller  départemental 13 délégué à la viticulture), Fabien Doudon (viticulteur, élu à la Chambre d’agriculture en charge de la viticulture, président de la cave coopérative Lou Bassaquet) et Yvon Gary (président de l’association des sommeliers Alpes Marseille Provence) étaient présents.

Marseille

► La réforme aux Réformés. Le groupe Mando Hospitality a vendu le restaurant du rooftop du cinéma Artplexe sur la Canebière à Laurent Battisti (Le Caribou, Grandes Halles du cours d’Estienne d’Orves, Le Pointu, Le Phonographe, le café de l’Horloge). L’équipe de 25 personnes demeure et sera dirigée par Jérôme Caprin (Ex-Ventre de l’Architecte, ex-Mesa, ex-la Savonnerie). Au rez-de-chaussée, le Blum tombe lui aussi dans l’escarcelle de Battisti qui veut en faire « une belle trattoria à l’italienne ».

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Vins rosés, vins d'été

Terres de Berne rosé 2017 : une nouvelle bouteille pour un grand classique

Terres de BerneEntre Lorgues et Salernes dans le Var, le château de Berne domine un vignoble de 143 hectares, ceint par quelque 500 hectares de forêts. On y mange, sous la houlette du chef Benjamin Collombat, et on y dort dans un grand confort, les propriétaires ne cachant pas leurs ambitions luxueuses. Les vignes, principalement orientées sud, se partagent le plateau à 330 mètres d’altitude, pour le grenache, et le château à 250 de haut s’avère être un terroir de prédilection pour élaborer les rosés. A peine si en février dernier le vignoble a entamé sa conversion en agriculture biologique : il faudra attendre 3 ans en tout pour obtenir le précieux logo. Pour l’heure, les cépages les plus classiques y sont cultivés : syrah, grenache noir, cinsault, sémillon, ugni-blanc, viognier, cabernet-sauvignon, carignan, rolle et mourvèdre. Jouissant d’un climat méditerranéen, à influence continentale, le château de Berne profite d’un environnement favorable alternant les étés chauds et secs avec les hivers froids. Les 50 jours de vent par an garantissent un état sanitaire exempt de moisissures, les nuits fraîches varoises contribuant à une maturation lente des raisins.

Cette cuvée rosé 2017 Terres de Berne raconte toute la typicité des côtes de Provence. Le maître de chai du château a conçu cette cuvée par pressurage direct ; l’assemblage de grenache noir, cinsault et syrah, confère à ce vin une robe rose saumon brillante. Le nez respire des arômes de fruits exotiques (pamplemousse et mangue) ainsi que de pêche. L’attaque est fraîche et fruitée, acidulée et finement structurée. La finale ronde offre une belle longueur sur des notes d’agrumes. On servira ce rosé à 10-11°C à l’apéritif, sur des recettes provençales rustiques à base d’olives, de tomate et d’ail, sur des plats orientaux (brochettes d’agneau grecques, homos, fatayeh libanais), des rouleaux de printemps et des nems.

Terres de Berne rosé 2017, 15 € la bouteille de 75 cl, en vente au château et chez les cavistes.

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