Et de deux ! Pour la deuxième année consécutive, le triumvirat des plus jolies « vilaines » de Provence dégaine le tire-bouchon et présente sa cuvée rosée. « Comme l’an dernier, nous avons demandé à Gabriel Giusiano du domaine de Pey Blanc, de nous aider à relever ce défi, avance Emmanuelle Vigne. Nous avons donc beaucoup appris auprès de ce vigneron et profité tout à la fois de sa bienveillance ». Dubitatif en 2017, Giusiano n’a pas hésité une seconde cette année à renouveler le partenariat, enthousiasmé par la détermination, l’entrain et l’énergie déployés par Anne Luttringer, Géraldine Dingwall et Emmanuelle Vigne.
« La quasi-totalité de ceux qui nous avaient fait confiance l’an dernier ont renouvelé leurs commandes, se réjouit Emmanuelle. Certains les ont même triplées ». Composé d’un assemblage somme toute très classique de grenache, cinsault et syrah, ce rosé à la robe pâle, féminin et gracieux, typique de la production en coteaux d’Aix, réussit l’équilibre entre fraîcheur et équilibre. Séduisante, la cuvée sera servie au Café de Flore, boulevard Saint-Germain à Paris, signe avant-coureur d’un bel été. Au Tholonet, le chef Mathias Dandine a réservé quelques bouteilles pour ses meilleurs clients, la Maison d’Ingrid à Lourmarin, une épicerie fine tenue par Hervé, ainsi que l’Epicerie gourmande (rue Jean-Mermoz à Marseille, 8e), figurent parmi les relais de nos trois souriantes « vilaines ». Un signe qui ne trompe pas : 4300 bouteilles de 75 cl et 50 magnums avaient été commercialisés en 2017 ; cette année, ce sont 8500 bouteilles de 75 cl et 450 magnums qui seront débouchés. Ça va valser du tire-bouchon !
Mardi 17 avril dès 19h30, rendez-vous au Babel Community, 70, rue de la République (Marseille, 2e arr.) pour découvrir le millésime 2017 du rosé des Vilaines. Tarif : 12€ les 75 cl et 25€ les 150cl.
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